A IBM, cela fait plus de 6 mois que la CGT avec l’intersyndicale CFE-CGC, CFDT, CFTC et UNSA interpelle la direction d’IBM France sur le besoin urgent de mettre en place des augmentations générales des salaires indexées sur l’inflation.
Chez IBM comme dans d’autres secteurs les dirigeants préfèrent augmenter les dividendes des actionnaires au détriment des augmentations de salaires pour les salariés.
Après 3 lettres ouvertes envoyées par la CGT IBM au nom de l’intersyndicale à la PDG Mme Kosowski réclamant l’ouverture de négociations sur les salaires... Toujours pas de réponse !!!…..
Après 3 lettres ouvertes envoyées par la CGT IBM au nom de l’intersyndicale à la PDG Mme Kosowski réclamant l’ouverture de négociations sur les salaires... Toujours pas de réponse !!!…..
La Direction IBM attend-elle vraiment que l’on se mette en grève pour réagir ? Et après dira-t-elle que c’est une grève préventive alors qu’elle refuse de discuter ?
Nous appelons les salariés IBM à poser au moins 1 heure de grève le mardi 18 octobre pour des augmentations générales des salaires indexées sur l’inflation.
Tous les élus, délégués, adhérents CGT IBM seront en grève avec vous.
Tous les élus, délégués, adhérents CGT IBM seront en grève avec vous.
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Depuis plusieurs mois, de nombreux salariés se sont mobilisés dans leurs entreprises pour réclamer des augmentations de salaires face à une inflation toujours croissante. Plusieurs victoires ont été obtenues.
Ils étaient des centaines de milliers à répondre à l’appel intersyndical du 29 septembre et depuis, tous les jours, d’autres entrent dans la bagarre. Cette semaine, le gouvernement a pris une décision lourde de sens pour le monde du travail en s’attaquant au droit exercé par les salariés en grève dans les raffineries. Décision vécue comme une ultime provocation du gouvernement envers tous les travailleurs dans toutes les branches, qui décident d’arrêts de travail pour gagner une amélioration de leurs conditions de travail, de leurs salaires. Et là, nous atteignons des sommets : on accuse des travailleurs de bloquer la bonne marche du pays alors que les multinationales engrangent des profits phénoménaux et que les dividendes coulent à flots pour les actionnaires…. (Suite dans le tract ci-joint)
Ils étaient des centaines de milliers à répondre à l’appel intersyndical du 29 septembre et depuis, tous les jours, d’autres entrent dans la bagarre. Cette semaine, le gouvernement a pris une décision lourde de sens pour le monde du travail en s’attaquant au droit exercé par les salariés en grève dans les raffineries. Décision vécue comme une ultime provocation du gouvernement envers tous les travailleurs dans toutes les branches, qui décident d’arrêts de travail pour gagner une amélioration de leurs conditions de travail, de leurs salaires. Et là, nous atteignons des sommets : on accuse des travailleurs de bloquer la bonne marche du pays alors que les multinationales engrangent des profits phénoménaux et que les dividendes coulent à flots pour les actionnaires…. (Suite dans le tract ci-joint)